Pour Héléa la princesse des quate vents
Des visages tel de vieux navires
Des vagues en appel
La mer comme demeure permanente
La plage que des oiseaux parfument de leur vol
Des coquillages comme des rochers sur dunes nocturnes
Le vent est au nord et me caresse de ses épines
Le vend est à l'ouest quand je cache mes larmes derrière des nuages
Le vent de l'est est au rire quand je porte ma main sur mon coeur
Le vent est au sud, et la plage ondule de monde
Le vent roule, le ciel se pose sur ma main
Le vent caresse les arbres et fait chantez les forets en hymne à la vie
Les bateaux dansent dans les bras du vent le marin est heureux
Un vent en grand frison, et la voile est soumise
Quand je ferme les yeux le vent éparpille sur mon corps des caresses en croissance perpétuelles je n'ai pas besoin d'inventer des désirs en caresse
Le mistral toutes brides lâchées passe détache arrache glace
Je cède aux souffles légers du vent qui d'un baiser dans les nuits d'étés me laisse boire à sa coupe