Un prof. d'univ. (dont j'oublie le nom) a consacré sa vie à l'étude de ce phénomène.
Pourtant, il me semble que la matière sur quoi travailler est mince.
Voici un poème attribué à Merlin (recopié à partir de France Culture) :
Doux pommier au riche feuillage,
je prenais d'habitude mon repas à ton pied pour plaire à une fille,
alors que, le bouclier sur l'épaule et le glaive sur la cuisse,
je dormais seul dans la forêt de Kelidan.
Ecoute marcassin, raisonne-toi,
prête l'oreille au doux chant des oiseaux.
Doux pommier qui croît sur le bord du fleuve,
ton gardien te respecte trop pour profiter de tes fruits.
Avant d'être privé de ma raison,
je venais souvent près de toi avec une fille charmante, gracieuse et gaie.
Mais pendant dix et quarante ans j'ai erré parmi les fous et les insensés.
Après avoir eu de grandes richesses et entretenu des musiciens,
maintenant je n'ai plus que malheur et ie.
Doux pommier aux fleurs délicates,
toi qui croît en un terrain rempli d'arbres,
la sorcière m'a révélé ce qui suit :
Un sceptre d'or d'un grand prix récompensera les braves,
il sera donné aux chefs qui vaincront les dragons.
Fascinant, non ?
Précurseur d'un Christ qui grand scoop n'est pas mort sur une croix,
il s'effaça dans un cercueil de verre, dupé (volontairement ?) par Viviane.
A décoder, et si vous avez d'autres sources, c'est par ici