Hi hi hi ! Vu sous cet angle...
J'ai une autre vision du prisme (c'est dans mon bouquin) :
Si nous faisons un petit tour du côté de l'astronomie (à titre de curiosité) nous découvrons qu'à la minuit du 24 décembre, au siècle où naquit le Jean Claude, à l'orient (le levant) apparaissait la constellation de la Vierge, indiquant une nouvelle révolution solaire. Tiens !
Indépendamment de toute hypothèse, il est à noter que le soleil, au solstice d'hiver, entre dans cette constellation pour déverser, à l'Assomption (réunion de la mère et de l'enfant) ses rayons bienfaisants.
La science des Chaldéens étaient sans doute mieux connue des anciens astrologues et érudits qu'elle ne l'est aujourd'hui. Les allégories s'y rapportant se sont perdues et n'est resté que le savoir pur, dénué de mysticisme ou de symbolisme.
Mais allégoriquement, ne voit-on pas la VIERGE DEVENIR MERE DU SOLEIL TOUT EN RESTANT VIERGE ? Une explication du mystère de la Nativité...
La constellation de la Vierge, étincelant
entre la constellation des Bergers et celle du Présèpe (crèche). Encore une coïncidence...
Au ciel de la sphère des mages et des Chaldéens, on voyait un enfant dans les bras de la Vierge Céleste. Celle-là même que les Egyptiens nommaient Isis, mère d'Oro ou de Sérapis.
Le Soleil, réparateur de tous les maux que cause l'hiver, naît en décembre, dans la constellation de la Vierge et restera encore trois mois dans "les signes inférieurs", où il grandira puis, à l'équinoxe du printemps, ressuscitera dans toute sa splendeur, triomphant et superbe.
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