Nous
avons tous en mémoire la phrase que l'on prête à Albert Einstein :
"Si
l'abeille venait à disparaître,
l'espèce humaine n'aurait que
quatre années à vivre."
Aujourd'hui nous sommes
dans le problème, et notre humanité est
en péril.
Pourquoi ne pas avoir
pris en considération une telle
déclaration ?
Pourquoi faut-il atteindre
les limites et les catastrophes pour
que les pouvoirs daignent prendre en
compte un avertissement donner en l'occurrence
par des êtres au fait de la question
: comme les éleveurs de ces
insectes (les apiculteurs !) ?
Pourquoi préserver
jusqu'à l'extrême ces lobbies
qui se moquent éperdument de ce
que peut devenir l'humanité ?
Pourquoi taire
ce que provoquent ces groupes de pression
qui n'ont comme unique but que de faire
de l'argent vite et à tout prix
? Les gouvernements sont constitués
de représentants élus par
le peuple, et font partie du peuple.
Comment ne pensent-ils pas qu'un jour
ils redeviendront de simples citoyens
? Pensent-ils qu'ils garderont éternellement
leurs prérogatives ? Se pensent-ils à l'abri
de toute pollution ? Comment pouvons-nous
faire confiance, toutes idées
politiques confondues, à des êtres à la
vue si courte ?
Ils n'ont même
pas l'instinct de survie pour eux-même
et leur famille. Tous les animaux prennent
garde de ne pas mettre en péril
l'espèce dont ils sont issus
; seul l'homme n'a pas encore compris
et donne la primauté à une
poignée d'hommes qui se moquent éperdument
de l'humanité et ne pense qu'en
terme de profit.
TOI ! "L'homme
politique" que nous avons élu,
toi à qui nous avons fait confiance
et qui siège en nos lieux et places
dans les instances dites supérieures
; penses-tu à nous seulement lorsque
tu sollicites nos voix pour te permettre
d'avoir une place au soleil. Non ! Tu
n'as pas de droit mais seulement des
devoirs et celui en outre de veiller
sur notre santé, notre vie, notre
bien-être.
Sais-tu que si, toi, tu as besoin de nous pour être
au pouvoir; nous, non ! Nous n'avons pas besoin
de toi. Alors il est temps que tu aies davantage
de considération pour ceux qui t’ont
fait crédit. Tu prétends aimer tes
enfants ? Mais en fait, tu les méprise puisque
leur environnement t'importe peu. Regarde bien
tout ce qui met en péril notre humanité,
et tu comprendras l'inquiétude ô !
Combien légitime que nous pouvons avoir.
Nota bene : Tu as
pensé à la canicule ?
C'est pour bientôt !